27 décembre 2010
Une ville de trop (voyage en terre grise)
Dans la ville éponyme
Moi la déesse anonyme
Je poussais un cri ultime
Dans mon coeur de béton
Cette glaciale rivale
Embourbée dans la grisaille
Ne cherchait plus le Saint Graal
Que dans des bâtisses marron
Je décidais qu'un oracle
Viendrait briser le spectacle
De ces gens que la vie bâcle
D'une funeste Oraison
Je quittais ce triste monde
Pour une terre féconde
Aux formes si douces et rondes
Que je murmurais son nom
Ô ma douce Médiévale
Ô mon joyau, mon opale
D'Amour tes murs me parlent
Et tendrement je réponds.
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