14 janvier 2007
TU AS
TU AS
Le sourir d'un soir de fête
La bouche d'un Pierrot
Des yeux de candélabres
Sur un bal masqué
Des mots de soleil noir
Qui cachent des voyages
Des bonheurs d'embruns
Qui planent sur les vagues
Des regards embués
Par des souffles d'enfants
Des rires de musique
Plus frêles qu'un cristal
Des mains de clavier
Qui défient la mesure
Des rêves violoneux
Qui bercent mes pianos
Des défis insoumis
Qui se rient des chandelles
Des magies de sorcier
Sur les pluies d'avantoi
Des langages de gestes
Contre le désuet
Des haussements de ciel
Sur le rouge des guerres
Et des vents de nuages
Sur l'aube qui ternit.
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